Robert Pattinson sings the Blues...
Sing us a song, piano man—let’s start with “Happy Birthday.” New Orleans’s Preservation Hall—where Annie Leibovitz shot young Robert Pattinson, shown tickling the ol’ 88 with the world-famous Preservation Hall band—celebrates its 50th anniversary this year. Situated in the French Quarter, the music venue is one of the country’s most hallowed: it was founded in 1961 for the purpose of preserving New Orleans–style jazz, and indigenous American music. On his first-ever visit to the Quarter, Pattinson jammed with the house band and thoroughly held his own—his celebrity perhaps subsumed by that of the musicians, whose legendary status awed everyone on set. “When we first started, none of us knew that Robert really does play piano,” says Ben Jaffe, the tuba player (center, above), the band’s director, and the son of the venue’s founders. “But when he got up there, he started ticking out these notes, and it was obvious he wasn’t just tinkling—he really knew how to play.” Though the musicians were expecting the actor to just pose, Pattinson gamely jammed along with their tunes. After finishing a song, he leaned over to Jaffe “and said, ‘That’s the first time I’ve played with a group of guys like that,’” Jaffe recalls. Not a shabby gig—especially with Jaffe’s homemade red beans and rice waiting as reward.
On the landmark birthday, Jaffe says he and the rest of the band are humbled: “It’s really momentous for us to reach this moment in our history, considering everything New Orleans has been through in the last five years,” he says. “It’s really a testament to the strength of the people of this city.” Preservation Hall endured a several-month hiatus post-Katrina and reopened in May 2006, structure miraculously intact. We say miraculously, because the hall’s charm is that it looks as though it might collapse at any moment—it’s one big happy jalopy of a 350-year-old structure, with all the glorious paint-peel-y, rusty-hinged patina of a Clementine Hunter painting. It strains at the seams with ambiance. And we hope, lack of air conditioning and all, that it never changes.
Tradution par Ptiteaurel © www.rpattzrobertpattinson.com
Chante nous une chanson, pianiste — Commençons par "Happy Birthday". Au New Orleans Preservation Hall — où Annie Leibovitz a photographié Robert Pattinson et où l'on peut applaudir le groupe célèbre dans le monde entier — cette salle fête ses 50 ans cette année. Situé dans le quartier français, ce lieu de musique est le plus convoité du pays : il a été créé en 1961 afin de préserver le style de la New Orleans au niveau du jazz et la musique indigène américaine. Pour sa toute première visite dans le quartier, Pattinson a joué avec le groupe et a aussi joué ses compositions — sa célébrité ajoutée à celle des musiciens, dont la présence légendaire a inspiré le respect de tous pendant la séance photo. "Quand on a commencé pour la 1ère fois, aucun de nous ne savait que Robert joue vraiment du piano" dit Ben Jaffe, le joueur de tuba (au centre), le directeur du groupe et le fils des fondateurs de ce lieu culte. "Mais quand il est allé là bas, il a commencé à jouer quelques notes et c'était évident qu'il ne faisait pas que pianoter — il sait vraiment jouer". Alors que les musiciens s'attendaient à ce que l'acteur se contente de prendre la pose, Pattinson a joué en rythme sur leurs chansons. Après avoir fini le morceau, il s'est penché vers Jaffe "et a dit 'C'est la 1ère fois que je joue avec un groupe de mecs comme ça'" se souvient Jaffe. Pas de concert miteux — surtout avec les haricots rouges et le riz faits maison de Jaffe comme récompense.
Pour cet anniversaire si spécial, Jaffe dit que lui et le reste du groupe sont modestes : "C'est vraiment important pour nous d'atteindre ce moment de notre histoire, vu tout ce que la Nouvelle Orléans a subi ces 5 dernières années" dit il. "C'est vraiment le témoignage de la force des gens de cette ville". Le Preservation Hall a dû faire face à plusieurs mois difficiles après le tornade Katrina et a réouvert en mai 2006, la structure était miraculeusement intacte. C'est un miracle car le charme de cette salle réside dans le fait qu'on a l'impression qu'elle peut s'effondrer d'un moment à l'autre — c'est une de ces vieilles grosses bâtisse qui a plus de 350 ans, avec cet aspect des peintures de Clementine Hunter. Et nous espérons que l'absence d'air conditionné perdurera.
source: Vanity Fair via ROBsessed ...
traduction Ptiteaurel © www.rpattzrobertpattinson.com
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